Le destin de la charbonnière
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« Nul ne peut échapper à son destin ».
Dit-on souvent.
Cette opinion est diversement appréciée selon les courants de pensée.
Le cas de Fissa dont l’histoire de fiançailles avec Coffi, s’apparente à un enlèvement, confirme cette idée.
Une expérience de courte durée mais riche en enseignements.
En acceptant de devenir employée auprès d’une vendeuse de charbon de bois, son principal objectif était de se salir au maximum afin de devenir méconnaissable ; mais en réalité, elle suivait ainsi son chemin sans le savoir.Pour ce faire, elle choisit de ne pas céder au défaitisme en bravant tous les obstacles qui auraient pu émousser ses efforts : déceptions sentimentales, arrestations policières, humiliations diverses …..
, avec au bout du rouleau, succès et gloire.
Ce faisant, elle fait sienne, cette réponse donnée par un penseur, à la question de savoir s’il croyait en la chance : « Oui, j’y crois ; mais plus je travaille, plus j’en ai ».
Kassimou Issotina, est né en 1962 à Ouaké au Nord du Bénin.
Après ses études, il exerça plusieurs activités : Secrétaire au tribunal de Conciliation de Savalou, agent de publicité au Niger, enseignant, …..
Il dirige actuellement une structure humanitaire dans son pays.
Fiche technique
- Auteur
- KASSIMOU ISSOTINA
- Langue
- Français
- Éditeur
- Éditions Muse
- Pays
Bénin
Rated 5.00 on the scale 1 - 5 based on 1 customer reviews
Génial
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Une expérience de courte durée mais riche en enseignements.
En acceptant de devenir employée auprès d’une vendeuse de charbon de bois, son principal objectif était de se salir au maximum afin de devenir méconnaissable ; mais en réalité, elle suivait ainsi son chemin sans le savoir.Pour ce faire, elle choisit de ne pas céder au défaitisme en bravant tous les obstacles qui auraient pu émousser ses efforts : déceptions sentimentales, arrestations policières, humiliations diverses …..
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Ce faisant, elle fait sienne, cette réponse donnée par un penseur, à la question de savoir s’il croyait en la chance : « Oui, j’y crois ; mais plus je travaille, plus j’en ai ».