Le développement économique et RICARDO

Le modèle ricardien du développement et de la répartition à l’épreuve du cas algérien

On se pose souvent la question de définir l’économique, mettant en exergue la complexité de la Science économique.

Aujourd’hui, cette science a pris énormément d’importance.

Partant de l’ambition d’étudier les rapports qui existent entre l’homme et les biens (les trouver, les produire puis les échanger ou/et les consommer), elle a la prétention d’analyser les rapports entre les hommes eux-mêmes ou mieux les processus qui les relient l’un à l’autre.

Parallèlement, nous constatons que parmi les grands problèmes économiques contemporains le développement des pays du Tiers monde occupe une place considérable ne serait-ce qu’en raison du pourcentage élevé d’êtres humains qu’il concerne.

Dans un environnement international peu propice aux initiatives, une large majorité d’états doit relever le double défi de promouvoir le développement en maintenant la croissance et affronter la pauvreté en améliorant la répartition des revenus (Barthélémy[1], 1981).

Certes, le débat sur la répartition des revenus tourne essentiellement autour des salaires.

Mais, le recours à la théorie apporte un éclaircissement sur l’évolution et le rôle de toutes les variables concernées.