L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
- Nouveau
En avril 2001, un vent de révolte sans précédent a soufflé sur les régions de Kabylie.
Les raisons de la colère : l’assassinat le 18 avril d’un lycéen dans les locaux de la gendarmerie de Beni-Douala (Tizi-Ouzou) et l’interpellation quatre jours après, par le même corps militaire, de trois collégiens à Amizour (Béjaïa) alors que les adolescents étaient en compagnie de leur enseignant.
Toutefois, ce qui distingue ce mouvement des autres, c’est par la couverture médiatique dont il a été l'objet.
Il occupera les "Unes" près de trois années durant.
Les acteurs du mouvement, conscients du rôle que pouvait jouer les journalistes, qui ont réagi et manifesté leur intérêt, ont adopté leur stratégie, en fonction des médias en général et de la presse écrite en particulier.
Comment cette interaction s’est-elle opérée ? Quelles ont été les stratégies, si stratégie il y a, des uns et des autres ? Comment les différents acteurs se sont servis mutuellement ? Et à quelles contraintes les journalistes ont été confrontées?
Journaliste ; Doctorant en sociologie à l’Ecole des Hautes Sociales en Sciences Sociales (EHESS) de Paris.
Titulaire d’un Master Etudes Internationales et Européennes (Faculté de droit de Grenoble) ; ancien diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Grenoble.
Fiche technique