Les endoparasites de Mytilus galloprovincialis (Mollusque, Bivalve)
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La reproduction est un processus noble qui assure la continuité des êtres vivants.
Pour tous les mammifères incluant l’homme, le nouvel individu venant à la vie nécessite un hébergeur qui est l’appareil génital femelle, appelé « MATRICE » chez la vache.
Les sécrétions utérines et oviductaires constituent un milieu favorable pour la survie des gamètes et de l’embryon.
Leur étude permet de mieux comprendre leur rôle et d’obtenir des milieux synthétiques plus adaptés aux différentes espèces et aux différents stades de développement.
Ces sécrétions sont le résultat d’un mélange complexe de composés dérivés du sang et de composés synthétisés par les épithéliums.
Des études sur des mammifères, rapportent l’existence des variations cycliques de contenu de ces sécrétions.
Nous avons étudié durant une année les effets des variations hormonales des deux phases du cycle œstral (folliculaire, lutéale) sur la composition des sécrétions génitales en enzymes, protéines totales et en électrolytes.
L’usage de certains indicateurs biochimiques des sécrétions génitales s’est révélé être un moyen intéressant pour contrôler la physiologie de reproduction de l’animal
SAMIRA FRIHA doctorante en Biologie (physiologie et biotechnologie de la reproduction des mammifères) Université de Batna-Algérie.
Diplômée d’un DES en microbiologie.
Elle enseigne la cytologie, la biologie animale et l’histologie spécialisée à l’université du Batna-Algérie.En parallèle, elle est entraine de terminer ses études en médecine humaine
Fiche technique