Feminisme dans Une si longue lettre et dans Anowa
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Feminisme dans Une si longue lettre et dans Anowa


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Autrefois, la femme africaine n’avait ni le droit de choisir son amant ni le droit de l’éducation formelle.

Elle devait obéir aux ordres de l’homme et garder sa distance pendant la décision familiale.

En fait, la femme africaine était comparée à un enfant, un orphelin ou un sourd-muet.

Elle était reléguée à l’arrière-plan en toute chose.

Or, la littérature a été utilisé comme l’un des outils de combat pour libérer les Noirs pendant l’époque coloniale mais aussi pour dévoiler les exploitations de l’homme noir par son semblable après les indépendances.

Cependant, depuis l’émergence des femmes écrivaines africaines, l’image de la femme dans la littérature négro-africaine, a connu une importante transformation.

Cette nouvelle image de la femme reflète dans son monde physique.

Grâce à la littérature, aujourd’hui, la femme peut rêver et aspirer au sein de la société africaine.

Format : Papier

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Mme Millicent Yengkangyi est née en 1967 à Takoradi.Elle travaille au Département d'études libérales de Kumasi Technical University, dans la région ashanti du Ghana.M Balica Braimah est né en 1967 à Takoradi au sud du Ghana.Il travaille à l’Institut des Recherches Interdisciplinaires de l’University for Development Studies, à Tamale au Ghana.


Fiche technique

Auteur
MILLICENT YENGKANGYI
Langue
Français
Éditeur
Éditions universitaires européennes
Année
2019
Pages
88
Pays
Ghana Ghana

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