Droits de la défense et détention préventive en Afrique : Cas du Togo
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La thèse exposée dans cet ouvrage est qu’il existe aujourd hui au Burkina Faso une entente explicite autour de la question de la torture et des traitements assimilés, une entente qui équivaut à une capitulation.
Les actes de tortures et des mauvais traitements est en effet un encouragement sinon un consentement.
L’Etat du Burkina Faso fait semblant de combattre la pratique de la torture et les Traitements cruels inhumains et dégradants par la ratification des instruments juridiques internationaux de lutte contre le mal.
Certes il y a quelques institutions dont les premiers responsables sont dévoués à combattre la pratique au Pays des Hommes Intègres mais la mauvaise volonté politique limite leur action a tous les niveaux.
Elles constituent malheureusement des aberrations perdues au sein d’un système où l’on se sert pour prouver à la communauté internationale qu’ en matière d’interdiction absolue, le Burkina Faso est en avance.
De nationalité Burkinabè et juriste, je suis un Conseiller en droits Humains en activité au Ministère de la justice, des droits humains et de la promotion Civique du Burkina Faso.
Fiche technique