L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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L’utilisation déraisonnée des produits chimiques de synthèse en maraîchage dans les zones périurbaines des villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso, expose les acteurs aux différents risques de contamination et met du même coup, l’avenir de ce secteur, pourtant pourvoyeur d’emplois, en péril.
La nécessité de reformer ce mode de production se pose.
L’agriculture biologique apparaît comme une bonne solution.
Ce livre, qui est le fruit de mes travaux de fin de cycle d’ingénieur, analyse donc les consentements à payer par les producteurs maraîchers pour les biopesticides et par les consommateurs pour les produits maraîchers (Oignon, Tomate, Choux), issus d’un mode de production biologique dans ces villes au Burkina Faso.
Il révèle que ces acteurs accordent de l’intérêt pour ce type d’agriculture et manifestent même, leur volonté de payer plus chers, ces produits.
Que ce soit au niveau des producteurs, comme au niveau des consommateurs, le surplus accordé est attribué à la protection de l’environnement et de leur santé.
Titulaire d’un diplôme d’ingénieur du développement rural, option sociologie et économie rural, soutenu avec la mention très bien à l’université polytechnique de Bobo Dioulasso, Monsieur OUEDRAOGO Manéré Paul, est employé actuellement à l’Institut Africain pour le Développement Economique et Social (INADES-Formation/Burkina Faso).
Fiche technique