L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
- Nouveau
Selon une littérature abondante et l’opinion publique, la presse camerounaise a mauvaise presse.
Ses pseudojournalistes décriés sans cesse pour leur manque de professionnalisme, sont pourtant chaque année sujets aux récompenses au travers des plateformes dites promotrices de l’excellence journalistique.
Il s’agit des plateformes qu’animent les nouvelles associations regroupées au tour de la notion de médiations journalistiques, qui se transposent alors comme dispositifs opérants pour une professionnalisation du journaliste camerounais.
Ces médiations de plus en plus nombreuses au Cameroun, créent depuis près d’une décennie, une certaine émulation participative mais alors, à des degrés différents qui remettent en cause leur légitimité.
Quelle(s) représentation(s) stigmatisent-ils? Qui en sont les médiateurs, qui légitimisent les productions dans un contexte médiatique aussi désenchanté? Quels enjeux pour le journaliste camerounais ? Deux associations médiatrices font l’objet de cette réflexion à savoir Médiation Club, des prix Médiations Press Trophies et Tribunal Article 53, du Prix Bibi Ngota.
Très tôt passionné par les métiers de l'Information et de la Communication, j'en ai fait l'objet principal de ma formation académique au Département de Communication, à l'Université de Douala.
En 2016, cette passion se sanctionne par un DEA en Communication Sociale et Médiatique, dont voici l'objet.
Fiche technique