Analyse diachronique de la vulnérabilité aux risques d’inondation
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Le livre aborde le délicat sujet de la gestion des ressources en eau avec une vision globale d’approche.
Ce résultat de 30 ans d’efforts, obtenu dans des conditions difficiles, aussi modeste soit-il, donne loisir d’apprécier les acquis d’un robuste socle scientifique et technique, tourné vers le développement (via la résolution des problèmes liés à l’eau comme son optimisation) du pays et de la région.
Paradoxe : le Cameroun est très riche en eau (300 km3), avec des pluies abondantes, un réseau hydrographique dense (2ème d’Afrique) et des réserves phréatiques énormes (Château d’Eau de l’Afrique Centrale).
Mais chacun n’y dispose pas d’eau potable! Les potentiels hydroélectriques (35 GW) équivalent à 10 centrales nucléaires, type Chinon en France (3,6 GW) : mais, 80% d’habitants n’y ont pas accès! L’assainissement des eaux usées se pose! L’agriculture ne devrait pas manquer d’eau, pourtant des projets destinés à l’optimiser manquent leur but! Des inondations catastrophiques détruisent personnes et ouvrages, faute d’études préalables! La situation se détériore avec les changements climatiques.
L’attention est attirée sur les gaspillages et la courte vue ayant présidé certains projet
Camerounais, 58 ans, la vie de Sigha, dans l’inconscience, est marquée en 1972 par cette appréciation de son Directeur de Collège: Excellent élément, premier en français et anglais.
Doué en maths.
Esprit très ouvert, aime la recherche.
Elle émerge en 1980 avec son intégration à l’IRGM comme Hydrologue, Directeur de Recherche avec Doctorat et HDR
Fiche technique