Droits de la défense et détention préventive en Afrique : Cas du Togo
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L’actualité internationale donne à voir la négociation diplomatique comme modalité axiomatique de règlement des Différends.
Illustration en est faite dans le Différend qui a opposé le Cameroun au Nigeria dit de l’Affaire de la frontière terrestre et maritime entre le Cameroun et le Nigeria avec la Guinée Equatoriale comme intervenant.
En tant qu’ « outil privilégié des relations internationales et instrument par excellence de la coopération et du maintien des relations pacifiques », elle a connu une attractivité particulière redonnant ainsi, une certaine vitalité à la règle du non recours à la force armée dans le règlement des Différends.
Pendant de nombreuses années, le Cameroun et le Nigeria se sont efforcés, par voie de négociations bilatérales, de parvenir à une entente directe et/ou à une solution amiable par le truchement d’un Accord.
Dès lors, quel sort a connu la négociation diplomatique dans l’Affaire de la frontière terrestre et maritime entre le Cameroun et le Nigeria (avec la Guinée Equatoriale comme intervenant).
La réponse à cette question a conduit à analyser de manière significative,l’amplitude variée des négociations diplomatiques.
Né dans le Département du Noun (Ouest-Cameroun), Martin Raymond Willy Mbog Ibock est titulaire d'un Master 2 en Droit international public et d'un Master 2 en Science Politique obtenus à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l'Université de Douala (Cameroun).
Actuellement, il prépare une Thèse de Doctorat en Science Politique.
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