Analyse diachronique de la vulnérabilité aux risques d’inondation
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Les événements antérieurs ont prouvés que l’humanité ne sera jamais à l’abri des catastrophes naturelles, d’autant plus qu’on ne peut empêcher un risque de se produire.
A l’heure où les technologies spatiales démontrent leur importance et leur nécessité dans des projets de développement, l’observatoire national des risques dérivant de la politique camerounaise, prône l’atlas des zones à risques comme moyen de prévention.
Notre travail consiste donc à la mise à contribution de la télédétection, des SIG et la cartographie à l’étude de cette zone, qui de par son relief accidenté est un milieu fragile et sensible.
Dans un premier temps, nous avons à cet effet déterminé à partir du MNT le facteur permanent des glissements de terrain à savoir la nature des pentes, très fortes dans l’ensemble.
De plus, l’ampleur de l’anthropisation se traduisant par le déploiement des activités agricoles et des aménagements diverses sur ces pentes s’est vu comme un aléa catalyseur à partir d’une étude diachronique entre 1988 et 2016.
Enfin, nous avons évalué les niveaux de vulnérabilité ainsi que la cartographie des zones probables au glissement de terrain.
Raphinie Ledjioguia née en 1991 à Bangang par Mbouda au Cameroun.
CEP, 2003 à l'école publique de Biyem Aussi, 2007 BEPC, 2009, probatoire et 2010 le BAC B, sciences économiques et sociales.
2014 licence de géographie physique à l'université de Yaoundé 1, Master professionnel en cartographie en 2017 et en cours de master 2 en géographie.
Fiche technique