L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Dans la commune de Djidja, le paludisme et la typhoide constituent un problème de santé publique.
Elles sont considérées comme maladies binômes.
L’objectif de ce travail est d’analyser les dynamiques socio-culturelles autour du traitement de ces maladies dans la Commune de Djidja.
L’approche adoptée est le fonctionnalisme amélioré de l’interactionnisme.
Nombre d’acteurs interrogés, soit 75%, ont souffert de façon concomitante de ces infections.
Les communautés sont exposées au péril fécal.
Jusqu’en 2013 il existe 28 latrines publiques et 15 privées.
La défécation à l’air libre est de mise.
Sur 115000 habitants recensés en 2013 seulement 3000 ont un accès permanant à l’eau potable.
En 2011 de janvier à mai, 75 cas de typhoïde ont été enregistrés au centre de santé de Djidja.
Les statistiques ne sont pas régulièrement tenues du fait que le malade ne revient souvent pas au centre après les analyses.
Les actions anthropiques favorisent l’épidémie du paludisme et de la typhoïde.
Auteur de huit articles publiés, Gilbert COOVI est un enseignant chercheur à l'Université d'Abomey Calavi / Faculté des Sciences Humaines et Sociales/Département de Sociologie et Anhtropologie.
Maître Assistant des Universités du CAMES, spécialiste des questions du développement, surtout en sociologie de l'éducation et anthropologie de la maladie.
Fiche technique