

Nombreux sont les pays qui signent et ratifient les instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme.
Mais leur application au plan interne pose d'énormes problèmes, au point que l'on se demande, s'il était nécessaire de les ratifier puisque leur mise en œuvre nationale se heurte aux normes juridiques internes.
Le Bénin par exemple, à l'instar de plusieurs États d'obédience francophone, est partie à des textes internationaux des droits de l'homme, mais leur mise en œuvre est confrontée à des pesanteurs...
Pourtant, l'article 147 de la Constitution de ce pays, fait des textes internationaux dûment ratifiés, des normes supérieures aux lois nationales.
Le Bénin est partie à la Convention sur les droits de l'enfant et à la Charte africaine des droits et du bien-être de l'enfant.
Cependant, il reste à adopter des normes juridiques internes pour permettre une pleine application de ces instruments pour le bonheur des enfants qui en sont les premiers bénéficiaires.
La réflexion menée dans cet ouvrage intéresse toutes les catégories socio-politiques qui peuvent y trouver un instrument de droit comparé.
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Juriste/consultant, spécialisé en droit de l’homme et en DIH, l'auteur de cet ouvrage s'efforce de faire aujourd'hui, un rapprochement entre ces domaines du droit international et les opérations de maintien et/ou de soutien à la paix.
En la matière, il a suivi des cours de spécialisation au Canada, en Suède, au Mali et au Bénin.
Fiche technique