Le monde arabo-musulman et l'Occident dans les manuels scolaires d'Italie et de Tunisie
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Plusieurs constats nous ont amené à investir ce domaine de l’éducation non formelle.
Il s’agit de la précarité des conditions de vie des populations, et surtout des jeunes diplômés de l’École qui se retrouvent encore à la charge des parents après leur formation.
Par contre, les jeunes formés et diplômés des ateliers ressentent moins de difficultés pour entreprendre le métier pour lequel ils ont été formés.
Par conséquent ceux-ci s’insèrent plus facilement dans la vie socioprofessionnelle.
Les résultats de notre enquête nous ont permis de noter que l’éducation alternative, loin de combler définitivement le vide créé par l’École, règle néanmoins le problème de la pauvreté des populations dans la mesure où l’activité des acteurs crée la richesse.
Par conséquent les acteurs arrivent à satisfaire certains besoins importants de l’Homme.
Ainsi donc, dans le rôle de la réduction de la pauvreté, ce secteur n’en n’est pas moins un moteur.
Cependant, certains facteurs comme l’analphabétisme de certains acteurs, défaut des cours théoriques et la mauvaise organisation du travail empêchent ce secteur d’être considéré comme un vrai cadre éducatif.
Né le 1er Décembre 1973 au Bénin, Comlanvi Florent AZANGOUN est titulaire d’une maîtrise en socio anthropologie à l’Université d’Abomey-Calavi.
Consultant Indépendant.
Ce travail sur la contribution de l’éducation alternative dans la réduction de la pauvreté au Bénin est le fruit de ses recherches.
Fiche technique