L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Afin de gérer avec efficacité les changements organisationnels et structurels imposés par un contexte économique mondial en perpétuelle mutation et afin d’améliorer sa rentabilité, l’entreprise marocaine connaît, depuis près de trois décennies, une revalorisation de la formation en communication.
La communication dans une organisation ne consiste pas seulement en de simples techniques à appréhender et à appliquer pour assurer sa performance et son efficacité, mais elle doit s’inscrire dans son projet global.
Former en communication que ce soit interne ou externe, que ce soit managériale ou instrumentale, etc., c’est avant tout chercher à introduire chez les personnes formées un changement donné.
Dans la mesure où la communication a trait à une multitude d’aspects, notamment ceux inhérents à la personnalité de l’individu, ceux inhérents aux relations avec les autres ou ceux qui ont un rapport avec la cognition et les compétences, le changement escompté par les managers touche plusieurs niveaux.
L’étude, dont nous présentons ici les résultats, se donne pour objectif d’évaluer l’impact des formations en communication sur la vie professionnelle des salariés.
Mokhtar Belarbi est Professeur de l’Enseignement Supérieur à la Faculté des Lettres de Meknès.
Il a soutenu deux thèses sur Claude Simon et une thèse en communication.
Il est coordonnateur du Master : Communication des organisations.
Il a publié une soixantaine d’articles au Maroc, en France et au Canada.
Il est éditeur de trois ouvrages.
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