De l'enfermement à l'errance émancipatrice
Dans les récits de Rachida Yacoubi, Fatna El Bouih et Rajae Benchemsi
Quel serait l’apport d’une écriture féminine qui a pour fin d’assumer un « je » ayant été pendant longtemps considéré comme « mineur » ? Notre étude s’interroge sur le vrai apport réalisé par la femme marocaine, à travers son engouement et sa détermination en vue d’acquérir l’autonomie morale et physique, car le constat est encore amer puisque nous relevons que le personnage-femme est toujours conçu dans notre société comme une interrogation.
En effet, que ce soit dans les sociétés Occidentales ou les autres, les femmes doivent encore défendre leurs droits.
Pour ce fait, le sujet de notre écrit intitulée De l’enfermement à l’errance émancipatrice à travers Ma vie, mon cri et Je Dénonce ! de Rachida Yacoubi, Une femme nommée Rachid de Fatna El Bouih et Marrakech, lumière d’exil de Rajae Benchemsi répond à ces femmes en usant d’une écriture au féminin qui se veut exutoire, vu la nature des épreuves endurées par les principaux personnages des récits du corpus de base.
Naoufal El Bakali est enseignant-chercheur à l'école supérieure roi Fahd de traduction de Tanger au Maroc, auteur d'un certain nombre d'articles sur l'écriture de mémoire et la littérature féminine marocaine d'expression française.
Fiche technique
- Auteur
- NAOUFAL EL BAKALI
- Langue
- Français
- Éditeur
- Presses Académiques Francophones
- Année
- 2014
- Pages
- 492
- Pays
- Maroc