L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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La Violence Conjugale est un phénomène complexe.
Elle a les mêmes résonnances pour toutes les femmes quelles que soient leur race, leur langue, leur statut, leur culture, leur nationalité ou leurs convictions religieuses.
La présente étude a pour objectifs de déterminer l’ampleur de la violence et les facteurs associés afin de contribuer à la prévention et à la lutte contre la violence conjugale à l’égard des femmes congolaises réfugiées vivant à Kigali.
La prévalence des actes de violence conjugale à l’égard des femmes réfugiées urbaines est estimée à 43, 5%, et les femmes les plus jeunes (moins de 35 ans) subissent davantage de violence conjugale à 24,7% que leurs ainées ; et l’alcoolisme des partenaires constitue également un facteur révélateur de la violence conjugale.
A cet égard, il est donc important que toutes les personnes, institutions et organismes soient sensibilisés et outillés pour répondre aux besoins spécifiques des femmes qui subissent la violence à l’intérieur d’une relation intime actuelle ou passée.
Angelo Ebengo Muzaliwa,est titulaire d’une maîtrise en Santé Publique de l’Université Nationale du Rwanda,d’une licence en Sciences du langage,de l’Université de Rouen(France),et possesseur d’un diplôme de Philosophie du Grand Séminaire de Buhimba(Goma-RDC).D'abord, enseignant du secondaire, puis animateur et travailleur social sur la VBG.
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