L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Les médias communautaires comme ceux du service public doivent tout faire pour remplir pleinement les rôles ou fonctions qui leur sont assignés.
Il s’agit notamment, de la fonction d’informer, d’éduquer et surtout de critiquer qui leur confère leur titre de 4ème pouvoir.
C’est – à – dire, les médias doivent rendre les êtres humains plus conscients des problèmes qui leur sont propres, comme ceux du processus électoral, de la recherche de la paix, du développement ou encore de la sécurité, etc.
Cette mission peut être rendue possible lorsque les journalistes ne s’adonnent pas au phénomène de coupage.
Parce que le coupage est un phénomène qui entache très sérieusement la liberté rédactionnelle du journaliste, ceux qui prétendent le contraire ne sont pas crédibles.
Dès le moment où s’établit une relation d’argent entre un journaliste et sa source d’information, le premier n’est plus libre de son expression.
Il va se plier au désir de son interlocuteur et comme nous le voyons régulièrement, les journalistes sont devenus des « Flatteurs », qui créent un nouveau genre journalistique, la « flatterie » qui a vu le jour à l’époque de Mobutu et tend à s'officialiser pendant Joseph Kabila.
Cosmas Mungazi Kakola est licencié en journalisme de l'Université de Kisangani, il est chargé des pratiques professionnelles à l'Université Catholique la Sapientia/Goma et promoteur du journal "Flambeau de l'est".
Soucieux du respect des principes de son métier, dont la liberté rédactionnelle, il est contre les journalistes flatteurs.
Fiche technique