L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Nous avons tous entendu parler du rêve américain et, plus récemment, du rêve français.
Mais existe-il un rêve proprement congolais ? Si oui, a-t-il déjà été énoncé et par qui ? Comment le distinguer des autres rêves ? Finalement, quelle est son utilité politique, socioculturelle et économique ? C’est à ces questions, et à bien d’autres, que tente de répondre Tshombe.
Parler du rêve d’une nation c’est explorer les ressorts qui la structurent, à la fois horizontalement (entre contemporains) et verticalement (entre générations) et lui donnent une place à part dans le concert des nations.
Ce rêve traduit sa singularité, son identité, bref ce qui la rend unique.
Le rêve d’une nation n’est ni le rêve de la majorité de ses citoyens, ni le rêve de la majorité au pouvoir bien que celles-ci puissent s’en faire l’écho.
C’est le rêve de ses pères fondateurs ! La réflexion de Tshombe est bien plus qu’une quête identitaire, c’est aussi et surtout un manifeste politique personnel à usage collectif.
C’est en plus un mémorandum destiné avant tout aux jeunes et à ceux qui se demandent si, dans un contexte africain, l’histoire a encore un sens.
Tshombé Key Richard est né le 16 Décembre 1961 à Sandoa, dans le Sud de la République Démocratique du Congo (RDC).
Il détient un Masters en Sociologie de Makerere University de Kampala en Ouganda.
Tshombe a une carrière bien remplie dans le domaine de la conservation de la nature et du développement durable.
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