L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
- Nouveau
Le 21éme siècle est marqué par l’essor de la science et de la technique ; par les médias on nous met au courant des événements sensationnels du monde scientifique et médical.
La médecine a atteint l’ampleur d’un séisme bouleversant tous les points de repère sur la mort, la vie et la transmission de la vie.
Cette évolution s’est concrétisée par les quatre constats : la médecine a pris une orientation résolument technoscientifique ; elle cherche à répondre au patient qui attend de son médecin des soins très efficaces pour l’amélioration de sa santé ; l’infertilité est devenue un problème de société : il y a comme une obsession pour avoir des enfants, la vie s’est libérée de certaines emprises mais s’en est trouvée déstabilisée.
Tout se passe comme si les découvertes scientifiques, les progrès de la médecine, toutes ces découvertes biotechnologiques constituaient à juste titre un salut pour l’humanité.
Or si nous les analysons profondément, elles suscitent également la peur et l’inquiétude.
C’est sur cette note que nous avons préféré fonder notre réflexion ou étude en proposant une perspective d’une bioéthique africaine.
Norbert Mujinga Katambo est prêtre et professeur à l'Université de Lubumbashi.
Il est Docteur en Philosophie et fait ses recherches en Bioéthique en rapport avec les questions éthiques en Afrique.
Actuellement, il est chef de Département de Philosophie et conseiller à la Coopération à l'Université de Lubumbashi.
Il est auteur de plusieurs écrits.
Fiche technique