Le cacao, les défis nationaux d’une filière stratégique dans la lutte contre la pauvreté en Afrique de l’Ouest
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Les enquêtes faites dans quelques écoles secondaires de la ville de Kananga au Kasaï Central sur la situation de l’éducation des filles demeure une propriété majeure.
A travers le monde et spécialement la RD Congo, l’éducation des filles demeure un combat que certains pays ont su gagné et d’autres non.
Malgré la présence des lois et conventions relatives au droit de l’enfant, les efforts fournis par la RD Congo, la situation de la jeune fille est paradoxale à cause de la discrimination dont elle est victime.Les violences sexuelles sur les adolescentes à l’école prennent de plus en plus de l’ampleur et ont des conséquences néfastes sur la santé physique des victimes.
Et même pour la santé mentale, sont graves et peuvent produire des effets durables conséquents, y compris des dépressions et tentative de suicides et en état de stress.Il convient de noter que l’école doit demeurer les milieux où les gents grandissent et acquièrent les connaissances.
Les violences auxquelles les filles sont confrontées à l’école représentent un blocage important et l’action éducative et formative se trouvent influencées fortement par la présence des dernières.
Marie Henriette EHADI SHOMBA est née à Kananga le 12 novembre 1969 en RDCongo.
Elle est religieuse dans la Congrégation de Sœurs du Cœur Immaculé de Marie au Diocèse de Lwiza au Kasaï Central.
Elle travaille à l’université Notre-Dame du Kasaï (U.KA) au Kasaï Central où elle est chef travaux il y a 3 ans.
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