L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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La société de l’information n’arrête pas d’étendre son extension, et l’information journalistique, ses tentacules.
Des organisations citoyennes exigent plus de libertés, et les politiques plus de démocratie et de transparence ! Pour le dire, ils ont les médias, et pas les moindres (le faible accès aux médias locaux pour certains ne les dissuade donc pas assez): les médias internationaux, trop dans les TIC et avec des budgets étonnants pour l’Afrique.
En République démocratique du Congo (RDC), ils prennent de l’importance, parfois dictent l’actualité.
Leur influence réjouit ou énerve, et c’est selon le temps et les milieux : politiques, médias locaux et consommateurs des médias.
Du coup, informer pose problème : comment informer ? Que dire ou ne pas dire ? Un mot s’impose : sensibilité, et un seul conseil est proposé aux journalistes locaux : responsabilité.
Comment donc ? À l’ère d’internet et du téléphone, est-ce possible, la gestion des informations sensibles ? Pointés du doigt dans l’orientation des opinions internes, au sujet des questions sensibles, les médias occidentaux pour l’Afrique, quel rôle jouent-ils réellement ? Pourquoi des frictions avec les politiques ?
Journaliste et blogueur, ancien novice salvatorien, Didier Mukaleng Makal Kanteng est licencié en Sciences de l’information et de la communication de l’Université de Lubumbashi.
Il est intéressé par les TIC auxquelles il a déjà consacré un livre aux EUE en 2013.
Didier anime les blogs Lubumbashi Infos, un blog utilisant le réseau Mondoblog-RFI.
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