Droits de la défense et détention préventive en Afrique : Cas du Togo
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Longtemps controversée en droit international, le Droit d’ingérence humanitaire fait naître aujourd’hui « la Responsabilité de protéger ».
Elle est caractérisée par la prévention des conflits, la réaction de la Communauté internationale face aux atrocités et la reconstruction de l’Etat effondré.
Née sous l’initiative du Canada suite au vibrant appel du Secrétaire de Nations-Unies Kofi Annan à l’égard des Etats membres de concilier les principes de non-ingérences et de la souveraineté des Etats avec la Responsabilité de la Communauté internationale, elle est adoptée comme norme internationale de sécurité en 2005.
Fondée essentiellement sur la jurisprudence relative aux normes impératives, « le Jus cogens », la doctrine du droit d’ingérence humanitaire et les instruments juridiques internationaux et régionaux, elle apparait aujourd’hui comme un mécanisme d’opposition aux atrocités commises par les belligérants.
DJERANDOH BOUKAR Ozias, après son baccalauréat A4 au lycée de Bénoye, entre à l’Université de N’Djamena et sort avec une Maître en Droit public.
Il s’inscrit à l’Université de Nantes et obtient diplôme de Master II en Droit international et européen des Droits fondamentaux.
Il exerce aujourd’hui comme Huissier de Justice.
Fiche technique