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L’action coercitive des Nations Unies en matière de non-prolifération nucléaire » est à l’origine d'un travail de Doctorat soutenue en 2007.
Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité sont aussi les cinq membres ayant obtenu le statut d’Etat nucléaire reconnu.
Dans cet ouvrage on s’est demandé si l’action coercitive qui serait menée, quand un Etat envisage d’avoir des armes nucléaires, serait une action indépendante et autonome menée par le Conseil de sécurité, ou elle serait une action menée par les Etats nucléaires voulant préserver leur statut de seuls Etats nucléaires « reconnus » ? Le Conseil de sécurité s’est vu progressivement « marginalisé » et son autorité devrait perdre du terrain petit à petit.
Les Etats nucléaires domineraient l’action coercitive avec un retour au Conseil de sécurité pour obtenir une « couverture légale » aux mesures injonctives qui devraient mener à la détection d’un programme nucléaire et à sa destruction.
En même temps, les situations iraniennes et nord coréennes nous rappellent le glissement qui s’est produit dans les questions nucléaires.
Le Conseil de sécurité se trouve « instrumentalisé » pour préserver un statut nucléaire
Nadia Dhaouadi a étudié à la Faculté de Droit et de Sciences Politiques (Université Manar-Tunis).
Elle a obtenu un Doctorat en Droit Public International en 2007.
L’auteure est enseignante à l’Université de Tunis.
Elle a publié des recherches sur le Droit pénal International, les Droits de l’homme et le Droit International Humanitaire.
Fiche technique