L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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La période post révolutionnaire en Tunisie est marquée par la naissance de plusieurs partis politiques, de syndicats, une poussée démographique considérable d’associations.
L’engagement associatif semble être de plus en plus intéressant pour les jeunes malgré que le taux de participation de ces derniers soit encore faible par rapport à celui des adultes.
Cette étude a pour objectif, d’aboutir à une visibilité plus grande et à une meilleure connaissance des jeunes tunisiens dans leurs associations, de mettre en lumière les représentations de leur implication et les raisons qui déclenchent et qui les motivent à prendre place dans les bureaux des associations.
Elle permet aussi de mieux comprendre les facteurs qui démobilisent les jeunes dans une ère nouvelle de liberté d’organisation garantie par les nouvelles lois sur les associations.
Elle étudie l’engagement des jeunes tunisiens dans la vie associative selon une approche individualiste qui entend analyser le sens subjectif que ces derniers donnent à leurs actions entant qu’acteurs sociaux ayant leurs raisons et leurs intérêts et soumis à des contraintes, dans un contexte socioculturel et politique en mutation.
Docteur en sciences culturelles, enseignant chercheur à l’Université de Tunis, membre d’un réseau académique Euromed et du laboratoire de recherche Esicmed.Il a participé à plusieurs séminaires et colloques en Europe et en Tunisie.
Il a plusieurs publications d’articles, de chapitres d’ouvrages collectifs sur la thématique de la jeunesse.
Fiche technique