Droits de la défense et détention préventive en Afrique : Cas du Togo
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Il est vrai que l’investissement est un pari sur l’avenir.
De ce point de vue, qui dit investissement dit risque.
Mais l’investisseur doit être dans une situation qui lui permet de ne faire face qu’à des « risques normaux », c'est-à-dire les risques liés à l’environnement purement économique (évolution du marché, concurrence, etc.).
Ainsi, il appartient à l'Etat d’assurer la sécurité en général et celle du droit des investissements en particulier.
La création de l’Organisation pour l’harmonisation du droit des affaires en Afrique (OHADA) s’explique par la nécessité d’assurer un État de droit économique.
D’où l’importance de la problématique du rapport entre «Sécurité des investissements et cohérence de l’ordre juridique ».
A travers cet ouvrage, l’auteur se propose de vérifier s’il est possible de garantir la sécurité juridique et judiciaire tout en maintenant une cohésion de l’ordre étatique.
Cette étude tend ainsi à identifier les difficultés d’ordres technique et procédural de nature à empêcher la garantie de la double exigence de la cohérence de l’ordre juridique et de la garantie de la sécurité des investissements dans un État, comme le Sénégal, membre de l’OHADA.
Juriste de formation, l'auteur est actuellement Maître-assistant à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (SÉNÉGAL).
Titulaire d'un Doctorat d’État en Droit privé,il est l'auteur d'articles portant notamment sur le droit des personnes et de la famille, le droit communautaire, etc.
Fiche technique