L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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La relation migration et développement territorial inscrite dans une approche holistique ou écologique permet d’analyser les phénomènes géographiques et leurs interactions à l’échelle régionale.
L’attractivité du vieux bassin arachidier connaît un coup d’arrêt avec la crise des systèmes de production aggravée par les politiques libérales.
Aussi la région se vide-t-elle des acteurs de la filière arachidière : de la main-d’œuvre rurale aux commerçants et transporteurs urbains, voire les fonctionnaires des structures de développement régional, qui migrent ou délocalisent leurs activités.
Curieusement, en contrepartie de cette désertion, deux phénomènes se produisent.
Au plan interne, une revitalisation de l’économie régionale s’amorce à travers l’émergence d’une nouvelle classe d’investisseurs enrichis par les transferts qui redynamisent les territoires de départ (villes et campagnes) par leurs activités et leur organisation.
A l’externe, cette nouvelle dynamique rend le vieux bassin arachidier plus compétitif face aux deux pôles Touba et de Dakar qui rivalisent par leur attractivité déstabilisatrice des autres régions.
Bara Mboup, né à Kébémer le 17 Janvier 1955, est enseignant à l’École Supérieure d’Économie Appliquée.
Il fréquente d'abord l’École Coranique de sa ville, puis du village de Ngaye-Ngaye.
A 7 ans, il entre à l’école élémentaire, à 20 ans il est instituteur et poursuit ses études à l'UCAD et à l’ENS de Dakar, puis il obtient son doctorat en 2006.
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