L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Au Sénégal, 20% des femmes pratiquaient l’excision en 2005 alors qu’en 2011, cette proportion est de l’ordre de 14,4% ; traduisant ainsi une tendance à la baisse de 5,6 point de pourcentage.
Toutefois, ces statistiques apparemment faibles cachent d’énormes disparités à l’échelle régionale car certaines régions sont plus exposées à la pratique que d’autres.
Au regard de ces statistiques, il semble nécessaire de poursuivre la recherche sur de nouveaux aspects du phénomène dans le contexte sénégalais d'où la question de recherche suivante : "Quels sont les facteurs à l’origine de son inégale répartition? Et, comment ils ont évolués entre la période considérée ? ».
Pour apporter des réponses à cette interrogation, nous avons mobilisé des outils théoriques et pratiques allant de l'exploration de la littérature courante sur le phénomène, en passant par les méthodes d'analyse descriptives (bivarié, AFCM, décomposition simple) aux méthodes d'analyse explicatives (décomposition avancée et régression logistique binomiale).
Je suis née à Dakar en 1987.
Après un Baccalauréat scientifique option "sciences expérimentales", j'ai fait un cursus universitaire à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l'UCAD avant d'intégrer l'IFORD de Yaoundé où j'ai obtenu un diplôme en Démographie.
Je travaille actuellement comme chargée d'études senior à l'ANSD.
Fiche technique