Analyse diachronique de la vulnérabilité aux risques d’inondation
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La qualité des ambiances urbaines constitue un enjeu pour le bien être des habitants des villes.
La lutte contre l’îlot de chaleur urbain représente un défit majeur pour le confort des citadins, plus particulièrement dans les écosystèmes fragiles des déserts.
Si le confort thermique intérieur est plus ou moins facile à procurer, le confort dans les espaces extérieurs est beaucoup plus difficile à atteindre.
Il est recherché souvent à travers des procédés passifs.
La végétation pourrait se présenter comme un moyen efficace pour l’amélioration des microclimats urbains.
Elle doit être utilisée avec soin lors des opérations d’aménagement des espaces extérieurs et de planification urbaine.
L’objectif de la présente étude est d’explorer l’influence du couvert végétal sur le microclimat dans une ville de climat chaud et aride.L’investigation du microclimat au sein de la palmeraie a révélé que les zones denses en végétation présentent en général un effet de rafraîchissement important.
Ce dernier varie d’un site à l’autre et dépend des conditions d’ombre, de la densité de la végétation, du facteur d’ouverture au ciel (SVF), de la nature du sol et de la disponibilité en eau de surface.
Ben Cheikh Hamida.
Titulaire d'un diplôme d'architecte d'état de l'université de Constantine en 1984, MPhil de l’université de Bath grande Bretagne 1987en architecture bioclimatique et énergie solaire, enseignant à l'université dans le département d’architecture depuis 1988, Doctorat d'état 2004, et Professeur en architecture 2018.
Fiche technique