L’impact du numérique sur les CDI et bibliothèques pendant la Covid-19
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Il s'agit d'interroger sur le concept " du bien vivre - du bien mourir » pour savoir si en Algérie, pays de confession musulmane, des directives anticipées (DA) pour la fin de vie du type de celles prévues en France par la loi Léonetti, pourraient être prévues dans un futur proche.
Un questionnaire est proposé dans le but de récolter des opinions à propos de la vieillesse, de la dépendance et de la fragilité qui lui sont liées.
Dans le même temps, sachant qu'une coutume des pays musulmans nommée « oussaya » permet à un individu de procéder à des recommandations pour après sa mort, ce questionnaire approche la possibilité qu’il puisse exister en Algérie des directives anticipées pour la fin de vie avec la désignation d’une personne de confiance (PC).
La question de l’obstination thérapeutique déraisonnable est envisagée.
Trois cent quatre-vingt quatre personnes, réparties en quatre groupes, ont été sollicitées.
Le taux de participation à l’étude est de 37 %.
Quatre-vingt seize p.
cent des individus de la société civile et des patients disent n’avoir jamais entendu parler des DA.
L’islam ne nous parait pas créer d’obstacles incontournables à une réflexion étendue sur la fin de vie.
Après l'obtention de son Doctorat en Médecine (Oran-Algérie), le Dr Djebbar poursuit ses études à Paris pour obtenir en 1986 à la Faculté René Descartes-Cochin, sa spécialiste de Rhumatologie.
Egalement les diplômes de Podologie médicale (1984) et de Médecine du Sport (1987).Toujours à Paris, il achève en 2016 une seconde spécialité en Gériatrie.
Fiche technique