Droits de la défense et détention préventive en Afrique : Cas du Togo
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Les malherbologues, les agronomes et les agriculteurs reconnaissent que les mauvaises herbes constituent une contrainte importante en production végétale.
Le mode d’action ou des nuisibilités va de zéro à l’infini, depuis des espèces parasites destructrices ou les espèces mortelles par leurs toxines, jusqu’aux espèces concurrentielles simplement présentes et partageant.
Devant cette situation, et au regard de l’ampleur des pertes de rendement, il devient impérieux d’intensifier et d’améliorer les moyens du lutte contre les mauvaises herbes.
C’est dans ce contexte que s’insère notre travail, qui consiste à évaluer les pertes de rendement par rapport à deux niveaux d’infestation d’adventices et par rapport aux différentes doses d’azote et d’eau.
Pour cette étude au champ et en situation de concurrence bispécifique (adventice -culture), nous avons utilisé pour le protocole expérimental, une parcelle naturellement infestée par les adventices.
Est né en 1985 à Mostaganem, où il a étudié les sciences agronomiques spécialité protection des végétaux entre 2007 et 2012 à l’université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem et a préparé un mémoire dans le domaine de malherbologie sous la direction de Mr F.
HAOUARA en vue de l’obtention de son diplôme d’Ingénieur d’Etat en sciences agronomiques.
Fiche technique