Analyse diachronique de la vulnérabilité aux risques d’inondation
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L’Algérie est entrée dans le troisième millénaire avec une dotation en eau insuffisante (moins de 500 m3/hab/an).
Cette situation constitue un frein au développement socio – économique.
L’embellie financière qui avait caractérisé le pays, a ouvert de nouveaux horizons marqués par des projets grandioses.
Cependant, la gestion de l'eau était "défaillante" à cause de la "vision trop sociale" ayant prévalu jusque-là dans la définition des différentes politiques mises en œuvre.
"Le problème fondamental qu'il faut prendre en charge dès maintenant réside dans le management de l'eau pour la gérer, l'économiser et mieux la distribuer".
Par ailleurs, l’état quantitatif de nos barrages souffre d’un manque de remplissage, de l’envasement et de la pollution.
Cet état nous conduit à envisager des solutions tantôt réalistes et faisables, tantôt osées et futuristes mais indispensables et qui sont déjà réalisés ailleurs car c’est du devenir du pays et des générations futures qu’il est question.
Cela rentre dans les perspectives du développement durable, cheval de bataille de toutes les sociétés jalouses de leur patrimoine et soucieuse de leur avenir.
Titulaire d'un baccalauréat en 1976 et d'un D.E.S.
en aménagement rural en 1981 à l'université de Constantine (Algérie).
Puis d'un D.E.A.
(1982) et d'un doctorat 3°cycle (1986) en hydrologie à l'université de Nancy II (France).
Enfin, d'un doctorat d’État en 2010 à l'université de Constantine.Aujourd'hui, enseignant dans cette dernière structure.
Fiche technique