Dynamique de l’occupation/utilisation du sol et sa vulnérabilité
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L’infrastructure hydraulique des pays du Maghreb arabe est amputée annuellement de 2% à 5% de la capacité utile globale, où l’envasement des retenues est classé parmi l’un des facteurs les plus importants de la perte en capacité.
La réduction de la réserve de stockage des ouvrages hydrauliques se voit croître sans cesse au fil de ces derniers temps et ce pour les deux raisons essentielles suivantes: la première, d’origine naturelle, est favorisée par l’agressivité du climat, l’alternance des périodes sèches et humides, la fragilité des formations géologiques et l’absence du couvert végétale suffisant ; la seconde, due d’une part aux mauvaises études et évaluations du problème avant l’implantation du barrage permettant de prévoir des solutions avant que le phénomène est fait ses effets, et d’autre part à une mauvaise exploitation des ouvrages annexes, tels que les vannes de vidange et les ouvrages de soutirage.
Les chiffres exposés ci-dessous, illustrent mieux l’ampleur du problème dans l’Algérie.
La réduction des potentialités hydrauliques de l’Algérie par suite de l’envasement est estimée annuellement à près de 20 millions de m3.
BENAICHA AMAR CHERIFNé le 22/09/1980 à Batna Algeriedoctorant chercheur en science hydraulique université de BatnaEtudes:Ingénieur en aménagement des ouvrages hydrotechniques, Magister en science hydraulique U.
Batna, Doctorant en science hydraulique U.
Batnatravail sur la valorisation des sédiments de dragage des barrages
Fiche technique