Les Extraits Algaux et Végétaux sur l'Expression Végétative
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L’agriculture irriguée en Algérie, évolue face à un ensemble de contraintes dues aux aléas climatiques, une demande croissante en eau de la ville et de l’industrie, une population agricole âgée avec un faible niveau de formation, des exploitations agricoles de petite taille (moins de 10 ha pour plus de 60% d’entre elles).
Dans cet ouvrage, nous avons présenté le contexte actuel de l’agriculture en général et celle irriguée en particulier à travers les facteurs climatiques, géographiques, sociaux, économiques, politiques et démographiques.
Ces contraintes sont un frein au développement de l’agriculture.
La pratique dominante en irrigation est celle du gravitaire traditionnel, elle couvre 70% des superficies irriguées.
Elle mobilise une main d’œuvre importante, consacre 10 à 15% de la superficie cultivée au réseau de distribution en eau à l’échelle d’un hectare.
Son efficience hydraulique est moyenne (60%) et la répartition de l’eau est hétérogène.
Le problème du choix entre l’amélioration et la modernisation de la pratique traditionnelle en irrigation gravitaire reste un sujet à débat.
Ingénieur agronome spécialité aménagement et mise en valeur ainsi qu' hydraulique, de l’École Nationale Supérieure Agronomique(ex-INA)d'Alger, Docteur d’État en hydraulique de l'ENSA, Professeur à l'ENSA.
Directeur du Laboratoire de recherche Maitrise de l'Eau en Agriculture (LMEA).
Auteur de plusieurs publications scientifiques.
Fiche technique