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Hé, les hommes, supportez à votre tour la tyrannie des femmes ! Raggow aarsi haween u adkaysta markiinna!
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Hé, les hommes, supportez à votre tour la tyrannie des femmes ! Raggow aarsi haween u adkaysta markiinna!, d’Ibrahim Souleiman « Gadhle », est une pièce de théâtre en somali, jouée en 1993, qui met en scène l’affrontement des sexes.
L’auteur y retrace l’évolution historique des relations hommes/femmes des cinquante dernières années.
À la campagne, par le passé, les hommes violentaient les femmes ; de nos jours, en ville, c’est au tour des femmes de soumettre les hommes dans un esprit de revanche.
D’un espace à l’autre et d’une époque à l’autre, les personnages semblent soumis à des principes ou à des lois partisanes et partiales dirigées contre l’autre sexe.
Leurs relations sont dominées par l’idée de soumission d’un sexe par l’autre, seule alternative à sa propre existence et à son épanouissement.
La pièce se termine alors que les personnages sont toujours enfermés dans l’errance de leur idéologie factice.
L’auteur y retrace l’évolution historique des relations hommes/femmes des cinquante dernières années.
À la campagne, par le passé, les hommes violentaient les femmes ; de nos jours, en ville, c’est au tour des femmes de soumettre les hommes dans un esprit de revanche.
D’un espace à l’autre et d’une époque à l’autre, les personnages semblent soumis à des principes ou à des lois partisanes et partiales dirigées contre l’autre sexe.
Leurs relations sont dominées par l’idée de soumission d’un sexe par l’autre, seule alternative à sa propre existence et à son épanouissement.
La pièce se termine alors que les personnages sont toujours enfermés dans l’errance de leur idéologie factice.
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Ibrahim Souleiman « Gadhle » est né en 1940 dans le nord de la Somalie.
Orphelin, il arrive très jeune à Djibouti où il exerce plusieurs métiers manuels.
Il travaille d’abord au port, entre 1955 et 1967, et s’engage dans le mouvement indépendantiste djiboutien qui prend de l’ampleur à la fin des années 1960.
Il devient maçon, entre 1967 et 1978, et est ensuite engagé à la radiotélévision de Djibouti (RTD), de 1978 à 1984.
Par la suite, il va se consacrer au théâtre et à ses activités littéraires, jusqu’ à sa mort en 2006.
Tous les produits de L'Harmattan
Orphelin, il arrive très jeune à Djibouti où il exerce plusieurs métiers manuels.
Il travaille d’abord au port, entre 1955 et 1967, et s’engage dans le mouvement indépendantiste djiboutien qui prend de l’ampleur à la fin des années 1960.
Il devient maçon, entre 1967 et 1978, et est ensuite engagé à la radiotélévision de Djibouti (RTD), de 1978 à 1984.
Par la suite, il va se consacrer au théâtre et à ses activités littéraires, jusqu’ à sa mort en 2006.
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Fiche technique
- Marque
- L'Harmattan
- Pages
- 240
- Pays
Djibouti 
Somalie
Hé, les hommes, supportez à votre tour la tyrannie des femmes ! Raggow aarsi haween u adkaysta markiinna!, d’Ibrahim Souleiman « Gadhle », est une pièce de théâtre en somali, jouée en 1993, qui met en scène l’affrontement des sexes.
L’auteur y retrace l’évolution historique des relations hommes/femmes des cinquante dernières années.
À la campagne, par le passé, les hommes violentaient les femmes ; de nos jours, en ville, c’est au tour des femmes de soumettre les hommes dans un esprit de revanche.
D’un espace à l’autre et d’une époque à l’autre, les personnages semblent soumis à des principes ou à des lois partisanes et partiales dirigées contre l’autre sexe.
Leurs relations sont dominées par l’idée de soumission d’un sexe par l’autre, seule alternative à sa propre existence et à son épanouissement.
La pièce se termine alors que les personnages sont toujours enfermés dans l’errance de leur idéologie factice.
L’auteur y retrace l’évolution historique des relations hommes/femmes des cinquante dernières années.
À la campagne, par le passé, les hommes violentaient les femmes ; de nos jours, en ville, c’est au tour des femmes de soumettre les hommes dans un esprit de revanche.
D’un espace à l’autre et d’une époque à l’autre, les personnages semblent soumis à des principes ou à des lois partisanes et partiales dirigées contre l’autre sexe.
Leurs relations sont dominées par l’idée de soumission d’un sexe par l’autre, seule alternative à sa propre existence et à son épanouissement.
La pièce se termine alors que les personnages sont toujours enfermés dans l’errance de leur idéologie factice.